La mise en oeuvre de la responsabilité sociétale est l'occasion pour l'entreprise de définir une nouvelle stratégie :
* quelles sont les opportunités et les menaces liées aux mutations de ses marchés ?
* quelles sont les forces et les faiblesses de l'entreprise ?
Les enjeux peuvent être analysés par rapport aux attentes et intérêts des parties prenantes de l'entreprise.
* La définition d'une éthique, formalisée dans une charte,
* La mise en place de programmes de gestion des risques,
* Une surveillance accrue des principes de sécurité,
* Une veille, notamment sociétale,
* des projets de gestion des connaissances en support à l'innovation qui impliquent également plusieurs types d'agents économiques : les acteurs publics territoriaux de l'enseignement et de la recherche (pôles de compétence).
* des programmes d'assurance qualité, avec la mise en œuvre de nouvelles normes,
* une communication interne et externe
L'approche RSE peut permettre de mettre en œuvre, entre autres, de nouvelles régulations et une meilleure gouvernance d'entreprise, que l'entreprise soit grande, moyenne ou petite, dans les pays dits développés, comme dans les pays en développement. Son avantage résidera en l'instauration d'une meilleure "contextualisation" des activités économiques des entreprises, une meilleure structuration des relations avec les parties prenantes, et théoriquement une meilleure gouvernance d'entreprise. Chaque entreprise adapte cette démarche à son rythme et selon sa culture.
* Critères environnementaux,
* Critères sociaux,
* Critères économiques,
* Critères de gouvernance.
En effet, le développement durable s'appuie sur les trois piliers que sont l'environnement, le social, et l'économique. Ces trois piliers sont coiffés par la gouvernance d'entreprise qui peut intégrer parallèlement et d'une manière tout aussi transversale des principes éthique ou de déontologie des affaires.
Une bonne gestion ou bonne pratique de
- une veille approfondie pluridisciplinaire sur les questions qui gravitent autour des critères fondateurs,
- une appropriation d'informations en résultant,
- une analyse rigoureuse des usages de l'information, qui peut faire l'objet d'une validation Internet et/ou externe notamment par les commissaires aux comptes des méthodologies employées
- enfin, un plan d'action pluriannuel décliné par critère et adapté aux enjeux ou objectifs choisis qui sera suivi par des indicateurs concrets et fiables, quantitatifs et qualitatifs.